Vitamine en pharmacie sans ordonnance
Premièrement, la «chasse aux vitamines» est devenue un passe-temps national.
Pour plusieurs, prendre chaque jour un cachet d’un complexe vitaminé,
c’est mettre de l’argent dans une «banque alimentaire». Cependant,
certaines céréales qui prétendent offrir «100 p. 100 de la ration recommandée pour dix vitamines et minéraux essentiels » continuent à être populaires,
même si leur coût est très élevé.
En général, on estime que les canadiens dépendent chaque année
jusqu’à 65 millions de dollars en suppléments vitaminiques.
D’après l’avis des diététiciens
Pour commencer, les diététiciens affirment qu’une personne qui a un régime bien équilibré,
c’est-à-dire contenant des aliments de chacun des quatre groupes alimentaires,
n’a pas besoin de supplément. En effet,
quand on fait l’analyse du sang et des tissus des gens qui s’alimentent bien,
on trouve un taux de vitamines tout a fait normal. En dernier lieu,
on ne peut pas diagnostiquer une carence en vitamines ou en minéraux par l’analyse des cheveux parce qu’il n’existe pas de normes généralement admises pour évaluer leur contenu en minéraux.
Les differents types de besoins nutritionnels
Bien que les besoins nutritifs de chacun différent selon l’héritage génétique,
l’histoire médicale et la mode de vie,
les apports nutritifs recommandes (ANR) englobent tout éventail des besoins. D’autant plus,
il se peut que les personnes qui suivent un régime contenant moins
de 1 200 calories par jour manquent de certaines vitamines.
Evidemment, ceux qui ont une mauvaise alimentation.
Courent le risque d’être privés de certains éléments nutritifs essentiels et,
conséquemment, de vitamines.
Les végétariens aussi peuvent présenter des carences en éléments nutritifs essentiels s’ils ne prennent ni œufs ni produits laitiers.
L’alcool pris sans modération et des traitements médicaux prolongés
peuvent également affecter les réserves de vitamines et la capacité
d’absorption de l’organisme.
Par ailleurs, i’l na pas été prouvé que la cigarette
ou de grandes quantités de caféine entraînent une importante déperdition de vitamines.
S’il est vraiment impossible de s’en tenir à un régime équilibré,
une ration quotidienne d’un complexe vitaminé peut aider à
combler les besoins de l’organisme, mais encore est-il préférable d’avoir recours à l’avis d’un médecin à ce sujet.
Dans la plupart des cas.
Le meilleur choix ira aux pilules qui ne fournissent pas plus que les apports nutritifs recommandés pour les six vitamines essentielles.
Des suppléments de vitamines liposolubles (A, D, E et K) sont rarement nécessaires et les bactéries de l’intestin fabriquent la biotine et l’acide pantothénique en quantité suffisante.
Vitamines de synthèse danger, Vitamine en pharmacie sans ordonnance
Tout d’abord, les gens qui prennent des suppléments de vitamines et de minéraux se demandent souvent s’ils doivent opter pour des produits «naturels» ou «synthétiques».
Tous ces produits sont identiques, même si les vitamines naturelles sont extraites des aliments et les vitamines synthétique fabriquées en laboratoire.
Rien ne prouve que les vitamines naturelles soient supérieures aux autres,
et elles sont généralement plus chères.
Même si les recherches sur les vitamines ont mis en lumière de nombreux faits importants,
il reste encore beaucoup à découvrir.
Bon nombre de personnes qui désirent améliorer leur santé en profitant des nouvelles découvertes en nutrition s’inquiètent, à juste titre, des modes et des charlatans.
À ce chapitre, les diététiciens recommandent une approche prudente et une attitude de «sain scepticisme».
Il faut s’interroger sur la crédibilité des enthousiastes des vitamines.
Par exemple, pour devenir un professionnel de la nutrition,
il faut avoir étudié pendant quatre ans en sciences,
en nutrition et en d’autres matières pertinentes dans un collège ou une université reconnus par le Comité consultatif de l’Association canadienne des diététiciens.
Se méfier de ceux qui se disent spécialistes en nutrition,
qui écrivent des livres sur le sujet et qui se présentent à la télévision pour faire la promotion de leurs lubies.
Selon les etudes des savants, Vitamine en pharmacie sans ordonnance
Tout d’abord, les recherches scientifiques sur la nutrition
donnent de grands espoirs pour l’avenir.
Par exemple, le ministère de la santé et du Bien-être social
du Canada vielle à la qualité des aliments mis sur le marché
et fait respecter nos standards de nutrition.
La loi et les règlements sur les aliments et les drogues autorisent certains contrôles gouvernementaux.
D’après cette loi, le ministère fédéral est responsable de la réglementation sur les aliments enrichis. Cela dit,
pour enrichir les aliments, on leur ajoute des vitamines ou d’autres éléments nutritifs.
Ce procédé a d’abord été mis au point pour corriger des carences nutritives réelles ou potentielles dans certaines couches de la société.
L’addition de vitamine D, pour le lait, et de vitamine B,
pour la farine et le pain, est une mesure importante qui a été prise dans l’intérêt du public.
Les règlements sur les aliments et les drogues permettent ou exigent le remplacement des vitamines et des autres éléments qui sont détruits par les procédés de préparation.
On exige aussi l’addition de ces substances à certains substituts alimentaires,
comme les petits déjeuners instantanés.
Excès des vitamines, Vitamine en pharmacie sans ordonnance
En premier lieu, les experts en nutrition du gouvernement et les associations de consommateurs se sont récemment penchés sur l’usage que font certaines personnes de mégapodes d’éléments nutritifs. Les mégapodes sont des suppléments vitaminiques qui dépassent de dix fois ou plus les apports nutritifs recommandés.
Prises dans de telles quantités, les vitamines sont des drogues et non des éléments nutritifs. Une grande partie de la population des mégapodes vient de la croyance que «si une petite quantité est bénéfique, une grande quantité le sera davantage».
«La vérité, nous dit un diététicien,
c’est que plus est parfois bien, parfois mal, souvent hors de propos et toujours plus coûteux.» Les enthousiastes des mégadoses revendiquent des guérisons allant du rhume ordinaire à la maladie mentale, mais aucune de ces préventions n’a reçu l’aval de la science.
D’autre part, il n’y a pas de preuves scientifiques directes que les mégadoses soient utiles, tandis qu’on a prouvé qu’elles pouvaient être dangereuses.
Les dernières découvertes en thérapie vitaminique sont très encourageantes.
Selon certaines recommandations
Des conclusions préliminaires tendent à établir un lien entre
les carences en acide folique et certaines formes
de diabètes et les carences en vitamine D, d’autre part.
De fortes doses de ces éléments nutritifs pourraient
un jour être prescrites pour prévenir ou traiter des maladies mais, jusqu’à ce jour,
les preuves de l’efficacité des vitamines comme médicaments ne sont pas concluantes ;
toutefois, on sait déjà que, prises en très grandes quantités,
elles peuvent être nocives. En effet,
il n’ya pas de meilleur gage de santé que le repos,
l’exercice et une saine alimentaire. Par contre,
essayer de traiter soi-même n’importe quelle maladie peut empêcher de faire appel à l’aide médicale à temps. En bref, les mégadoses de vitamine A et de vitamine D sont toxiques ;
la niacine peut causer des problèmes cardiaques et des troubles digestifs, et la vitamine C des calculs dans les reins.
Les non vitamines, Vitamine en pharmacie sans ordonnance
Les substances qui suivent sont parfois improprement assimilées aux vitamines.
La choline
Avant tout, elle est fabriquée par l’organisme, la choline est une des composantes de la lécithine, essentielle aux cellules membraneuses ; c’est également un précurseur de l’acétylcholine, indispensable pour la transmission de l’influx nerveux. Quoique la choline se trouve dans les abats et le jaune d’œuf, on n’a pas à en consommer en quantités précises puisque l’organisme y pourvoit.
L’acide pangamique ou pangamate (incorrectement appelé vitamine B15). On peut se le procurer légalement au Canada s’il est étiqueté et vendu comme aliment, mais la loi interdit au manufacturier de faire état de ses propriétés médicamenteuses. Les besoins alimentaires en acide pangamique n’ont pas encore été démontrés. FInalement, santé et Bien-être social Canada poursuit des expériences pour savoir si l’acide pangamique est toxique.
L’inosito
c’est un composé produit par les cellules ; cette substance ne semble pas essentielle à l’alimentation humaine.
Le laetrille ou amygdaline (incorrectement appelé vitamine B17). Cette substance, qu’on trouve dans les noyaux d’abricots et d’autres fruits ainsi que dans les amandes amères, est nuisible au métabolisme, parce qu’elle contient 6 p. 100 de cyanide. Des tests récents ont confirmé que le laetrille est inefficace dans le traitement du cancer parce que s’il peut détruire les cellules cancéreuses chez les humains, il altère également les cellules saines.
Le paba (acide para-aminobenzoïque)
C’est une vitamine pour certains microorganismes mais pas pour les humains. Il n’a pas de valeur connue quand on l’ajoute à l’alimentation humaine et peut être nuisible pour une personne qui prend des sulfamides.
