Les effets de la caféine sur l’organisme
Premièrement, on entend souvent dire que le thé est vivifiant, que le café ravigote, que le cacao donne de l’énergie.
Tout cela est vrai, puisque ces boissons sont toutes des stimulants.
La caféine, le théophylline (un alcaloïde du thé) de même que la théobromine (un alcaloïde du cacao) appartiennent toutes à la même famille de drogues :les xanthines méthyliques.
Pourtant, ce sont des stimulants du système nerveux central qui peuvent avoir de bons comme de mauvais effets.
Ainsi, la caféine, qui est la plus puissante des drogues de cette famille, augmente la vivacité d’esprit et semble alléger la fatigue lorsqu’elle est prise avec modération ;
toutefois trop de caféine entraîne une constriction des vaisseaux sanguins du cerveau,
accélère ou altère le rythme cardiaque et déclenche des symptômes qui vont de l’agitation et de l’irritabilité aux spasmes musculaires et aux maux de tête.
A cause de son effet sur les vaisseaux sanguins du cerveau,
on emploie de la caféine dans plusieurs préparations contre les maux de tête et dans divers autres analgésiques.
Ensuite, on en trouve aussi dans des produits en vente libre, destinés à soulager les rhumes ou les allergies .
Parce qu’elles stimulent le cœur et aident à régulariser le rythme respiratoire,
on utilise souvent des xanthines méthyliques dans le traitement de l’asthme et des défaillances cardiaques.
Usage médical
Pour commencer, l’emploi et ces substances sous surveillance médicale est bien différent de, l’usage qu’on en fait en s’en administrant soi-même de fortes doses.
Une consommation abusive de caféine entraîne des effets secondaires dont la liste est loin d’être entièrement compilée.
Pour cela, des études scientifiques sur les adultes buveurs de café indiquent qu’une consommation excessive (1000 mg par jour ou environ 8 tasses) peut déclencher les symptômes classiques de l’anxiété :
vertiges, irritabilité, tremblements, insomnie, maux de tête et arythmie cardiaque.
Par ailleurs, elle peut également entraîner la dépendance, un accroissement de la tolérance et même des symptômes de sevrage est le mal de tête.
Puis, un antalgique à base de caféine guérira ce mal de tête,
mais l’aspirine sera sans effet.
(Certaines études ont été faites sur des cas de caféisme chez des enfants et des symptômes identiques ont été constatés chez ceux qui consomment de grandes quantités de colas, de cacao et de chocolat.)
En plus des symptômes que nous venons d’énumérer,
l’usage immodéré de caféine a été associé à des cas de diurèse (mictions excessives), à des perturbations du métabolisme des glucides.
D’abord, des études récentes démontrent que la caféine peut également augmenter le risque de fibrose kystique bénigne du sein et du cancer du pancréas.
Cependant, les scientifiques ne sont pas tous d’accord avec les conclusions de ces études.
Étude des problèmes liés au caféine
Les effets de la consommation de café sur le fœtus sont encore à l’étude. Aux Etats-Unis,
à la suite d’expérience sur les rats au cours desquelles un taux élevé de malformations congénitales a été attribué à la caféine,
on a recommandé aux femmes enceintes d’éviter ou de consommer modérément tout ;
produit contenant de la caféine plus récentes, la caféine n’aurait aucun effet néfaste sur les nouveau-nés ;
mais d’après d’autres experts,
ces résultats ne seraient pas concluants à cause d’un échantillonnage insuffisant.
Par contre, au cours des années,
les chercheurs ont aussi étudié le rôle que pourrait jouer la caféine dans le cas de crises cardiaques,
d’ulcère, de cancers d’estomac, de la vessie ou du tractus urinaire ;
mais à ce sujet non plus, les résultats ne sont pas concluants.
Par conséquent, pour un adulte en bonne santé, une consommation modérée de café semble ne causer aucun problème.
En outre, il n’en va pas de même toutefois pour les femmes enceintes ou pour qu’elles allaitent et les enfants qui consomment de nombreux produits contenant de la caféine.
Les enfants qui boivent de chocolat régulièrement peut ingérer autant de caféine qu’un adulte qui boit beaucoup plus susceptible d’en affecté.
Donc, Les parents liront attentivement les étiquettes des produits qu’ils achètent de façon à surveiller la quantité de substances stimulantes qu’absorbent leurs enfants.
Finalement, Il faudra attendre soient concluantes avant de pouvoir classer la caféine parmi les produits sans danger.