Tout savoir sur la consommation du céleri
Tout d’abord, le céleri se mange cru ou cuit. Cru, il est souvent
servi comme hors-d’œuvre, tel quel ou farci de fromage, de préparations aux fruits de mer, à la volaille ou aux œufs. Puis, on le met aussi dans les salades
et les préparations à sandwichs. Cuit, il parfume une grande variété de mets, notamment
soupes, sauces, ragoûts, pâtes alimentaire, tofu, quiches,
omelettes et riz. Ensuite, il sert aussi de légume d’accompagnement, une fois braisé, gratiné, nappé de sauce béchamel ou tout simplement au beurre.
Les feuilles du céleri ne devraient pas entre jetées, car elles ajoutent de la saveur aux aliments. Elles peuvent entre hachées ou utilisées telles quelles,
tant fraîches que séchées soit dans les salades, potages, sauces ou courts-bouillons. Ainsi, les graines sont légèrement amères et ont une saveur concentrée de céleri ; on les utilise entières ou pulvérisées pour les farces, légumes
pochés, biscuits salés, marinades et sauces.
Origine du céleri,
Tout savoir sur la consommation du céleri
D’une part, plante potagère bisannuelle originaire de la région
méditerranéenne dont on utilise les tiges (ou côtes), les feuilles,
les feuilles, les racines et les graines. Autrement dit, les feuilles de céleri furent d’abord utilisées pour leurs propriétés médicinales ; le céleri fut
longtemps tenu pour un puissant aphrodisiaque. Par conséquent, avant l’époque chrétienne, les Grecs utilisaient les feuilles de céleri comme le laurier pour couronner
leurs athlètes ; on leur servait aussi du vin de céleri. Toutefois, les Romains utilisaient déjà les graines de céleri comme assaisonnement. En outre, un Élixir de
céleri était consommé au Moyen Âge pour soulager l’arthrite et pour faciliter la digestion. Poussant à l’état sauvage, le céleri ne fut cultivé ne fut cultivé
que vers le XVIe Siècle. Pourtant, on a pu obtenir deux variétés de céleri : le céleri-rave, dont la racine est développée, et le céleri-branche, qui fut développé
pour ses tiges ou branches comme son nom l’indique, longtemps on consomma le céleri cuit ; ce n’est que vers le XVIIIe siècle en Europe qu’on
commença à le manger cru. Donc, le céleri introduit
aux Etats-Unis qu’au début du XIXe siècle.
Comment identifier le céleri
Premièrement, le céleri (ou céleri-branche), s’élève au-dessus
de la terre d’environ 30 ou 40 cm. Ses tiges charnues et côtelées, réunis à la base, forment un «pied», L’intérieur du céleri, appelé cœur, constitue
la partie la plus tendre. En effet, il existe plusieurs variétés de céleri aux tiges plus ou moins vertes ou blanchâtres. En revanche, les Européens préfèrent le céleri
blanc tandis que les Nord-Américains ont adopté le céleri vert. Tandis que, lorsque le céleri pour ses graines, il est laissé en terre, car il ne fleurira que l’année
suivante. Mais en réalité, des fleurs blanches disposées en ombrelles
apparaîtront, puis se transformeront en graines
fortement aromatiques, couramment utilisées
en cuisine. Par contre, le sel de céleri est un mélange de graines
moulues et de sel que l’on utilise comme
assaisonnement. En somme, le céleri est souvent cultivé en étant
blanchi, c’est-à-dire recouvert de terre, de papier ou de
planches, à l’abri de la lumière, afin qu’il ne soit ni trop
vert ni de saveur trop prononcée. Certaines variétés améliorées
n’ont pas besoin d’être blanchies.
Achat,
Tout savoir sur la consommation du céleri
Avant tout, choisir un céleri aux tiges lustrées, fermes et cassantes
aux feuilles d’un beau vert (si elles sont présentées). En dernier lieu, éviter les tiges molles,
endommagées, portant des cicatrices brunâtres ou ayant des feuilles jaunies.
Préparation,
Tout savoir sur la consommation du céleri
D’autre part, le céleri est facile à préparer couper la base, laver les
tiges à l’eau courante, puis sectionner les tiges de la longueur
désirée. Enfin, si nécessaire ou si désiré, il est possible d’enlever
les fibres présentes à la surface de la tige du céleri ; il s’agit seulement
de couper une mince couche du céleri à la base ou au
haut des tiges et de tirer sur les fibres filiformes.
Valeur nutritive
Cru | Cuit | |
Eau | 95 % | 94% |
Protéines | 0,8 g | 0,8 g |
Matières grasses | 3,8 g | 4 g |
Glucides | 9,2 g | 5,9 g |
calories | 15 | 17 |
Par 100 g |
Il faut dire que, le céleri est une excellente source de potassium ; il
contient de la vitamine C, de l’acide folique et de la vitamine B6.
On le dit apéritif, diurétique, dépuratif, stomachique, reminéralisant,
antiscorbutique, antiseptique, antirhumatismal et
tonique. Alors, le jus de céleri faciliterait la cicatrisation
d’ulcères et de blessures lorsqu’il est appliqué directement
en compresse. Étant donné que, Les graines de céleri ont aussi plusieurs
propriétés médicinales ; on les utilise pour traiter grippes,
rhumes, insomnie, indigestion et arthrite. Pour finir, le céleri contiendrait un principe actif susceptible d’abaisser la tension artérielle en abaissant le taux d’hormones du stress.
Conservation
D’abord, conserver le céleri au réfrigérateur dans un sac de plastique
perforé, dans un linge humide ou dans un récipient
fermé. Mais aussi, il se conservera 1 semaine. De même, Comme il contient
beaucoup d’eau et qu’il se déshydrate passablement
rapidement, ne pas laisser le céleri à la température
de la pièce. Prenons le cas, on peut laisser tremper la base des tiges dans
de l’eau froide et salée, il se conservera ainsi plusieurs jours. Cela dit, éviter de conserver
le céleri paré et coupé dans de l’eau, car le trempage
entraîne une légère perte de valeur nutritive. Au contraire, pour raffermir le
céleri, l’humecter légèrement et le réfrigérer ; après quelques
heures il sera redevenu croquant. Finalement, on peut entreposer le
céleri dans un endroit frais (0 oC) et très humide sans le laver, en lui
laissant ses racines et l’enveloppant dans un sac de plastique
perforé. Le céleri résiste mal à la congélation qui l’amollit,
ce qui n ;est pas un inconvénient majeur si on le destine à la cuisson.